Tu nous as quitté un samedi matin, dès 06h00 un 11 juillet et cela
fait maintenant 14 ans.
Il n’y a pas une journée sans que je pense à toi, que je souhaiterais
encore échanger avec toi mais je ne peux que parler à ta photo.
La douleur est toujours aussi présente et ton absence me fait très
mal.
Tu sais notre dossier sur la reconnaissance du génocide tzigane est
toujours au point mort et je sais que pour toi, ancien déporté, cela était une
cause importante. Eh bien tu vois après 22 ans de travail de notre association,
14 ans que tu nous a quitté et toujours aucune loi de voter.
Mais tu connais et tu sais que je ne baisserais pas les bras car si je
dois me battre pour une seule personne (toi en l’occurrence) je te promets
(comme je les fait au pied de ton lit de mort) que j’irais jusqu’au bout.
Papa je t’aime, repose en paix.
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