Le 10 juillet 1998 jusqu’à 22 h 00 nous étions à tes côtés et tu me
paraissais bien. Tu nous avais demandé du raisin, nous avions fait le tour d’Aix-en-Provence
pour t’en trouver et tu l’as dégusté. Nous avons blagué, comme tu savais si
bien le faire, tu avais même des projets.
Lorsque nous t’avons quitté ce
vendredi soir rien ne me laissait prévoir le pire.
Samedi 11 juillet l’équipe de France
de foot se prépare pour la finale de la coupe du monde et tout le monde est
joyeux et fait des paris.
08h00 le téléphone sonne et la nouvelle tombe : TU NOUS A QUITTE
à 6h00 ce matin-là et pour moi le monde s’effondre.
Joël me soutient du mieux qu’il peut mais…… c’est le grand vide. Je suis
à tes côtés, je te parle sans cesse et ce n’est bien sûr qu’un monologue.
Dimanche 12 juillet la grande finale avec un résultat formidable 3 à 0
La France est championne, la France chante, rit et moi je pleure et cette
liesse me fait mal.
Quinze ans déjà que tu es parti et j’ai le cœur qui saigne depuis,
tu me manques terriblement.
Je te dédie la chanson que tu aimais et que Gérard FERRER a si bien
reprise : « Le temps des fleurs » façon gitane et elle t’aurait
plu.
JE NE CESSERAIS JAMAIS DE PENSER A TOI ET TE LE REDIS : JE T’AIME
PAPA
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