Le 1er novembre 2005, l'Assemblée
générale des Nations Unies a adopté la résolution 60/7 dans laquelle nommé la
date de janvier 27 e jour international de commémoration annuelle à la mémoire
des victimes de l'Holocauste (SAMUDARIPEN).
Le 27 janvier, il a été choisi
pour commémorer la journée internationale du souvenir de l'Holocauste parce
qu'à cette date en 1945, l'armée soviétique a libéré la plus grande
extermination nazie au camp d'Auschwitz-Birkenau (Pologne). Rroms (Tsiganes)
ont été persécutés, emprisonnés, torturés, stérilisés et utilisés pour des
expériences médicales, gazage dans le camp d'extermination gazés, parce qu'être
ROM, selon l'idéologie nazie, devait appartenir à une « race inférieure »,
agace existent. Pour eux, les Rroms étaient génétiquement voleurs, des
traîtres, des nomades : la raison de leur danger devait obtenir dans leur sang,
qui précède toujours son comportement (Giovanna Boursier, en tzigane, a montré l’oubli.
Le triangle marron est le signal
que la dénomination des romanis (gitans) ont été obligés d'utiliser dans les
camps de concentration nazis. Entre 70 % et 80 % de la population ROM est
anéantie par les nazis.
Aucun ROM (tzigane) n’a été
convoquée comme témoin dans le procès de Nuremberg ; Personne ne l'a fait pour
eux. Les Rroms, en tant que peuple, n’ont reçu aucune compensation pour les
crimes de guerre.
Elie Wiesel, prix Noble de la
paix et survivant d'Auschwitz nous avertit : « Nous étions convaincus qu'après
Auschwitz, nous ne céderions plus au fanatisme, les peuples des Nations non pas
pris en charge, plus de guerre et le racisme, l'antisémitisme et l'humiliation
sociale seraient balayés pour toujours. » Nous ne pouvions pas imaginer que
nous serions témoins de guerres plus, nouvelles hostilités raciales et que le
nazisme pourrait ressusciter sur les 5 continents dans le cadre de notre vie.
Mais nous avons appris quelques
leçons.
Nous avons appris à ne pas être neutres en
temps de crise, car la neutralité sert toujours l'agresseur plutôt que la
victime. Nous avons appris que le silence n'est jamais la réponse.
Nous avons appris que le contraire de l'amour
n’est pas la haine, mais l'indifférence. Et ce qui est de la mémoire, mais la
réponse est-ce l'indifférence ? Souvenons-nous donc pour la sécurité de tous.
La mémoire peut être notre seule réponse,
notre seul espoir de sauver le monde de la punition finale
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