dimanche 19 septembre 2010
LE PEUPLE DE L'UNION ROMANI sont remplis d'une profonde tristesse 17/09/2010
(Google Traduction)Il ya trois jours nous étions très heureux lorsque nous avons appris que le commissaire à la Justice de la Commission européenne, Mme Viviane Reding, a voulu proposer au Président de la Commission d'ouvrir une procédure devant la Cour de justice européenne à Luxembourg en raison de la politique de déportations de masse contre les Roms menées par le gouvernement français. Pour cette raison, nous a félicité la Commission européenne. Nous avons exhorté le Commissaire de la Justice de ne pas faillir à son engagement et, en même temps, nous avons demandé le Président de la Commission, M. Barroso Joao son soutien à l'initiative de son commissaire.
Mais nous nous attendions à quelque chose de mauvais se produise. Notre satisfaction ne pouvait durer longtemps et notre peur de paraître debout devant un mirage fait de nous dire que nous: «ratifié dans notre volonté, comme un organisme de tsiganes à également comparaître devant la Cour de Luxembourg pour exercer notre droit de défendre notre communauté afin injustement rudoyée».
Et la peur a été remplie. La lecture des manchettes sur les couvertures de la presse espagnole et européenne a été comme un courant d'eau froide qui est tombé sur nos souffrances et de persécutions dos. Même à notre subconscient est venu les cris des racistes de toutes les couleurs qui disait: Viva Sarkozy! Et ils ont raison de se réjouir, parce que la lecture qui a été faite des déclarations des chefs d'État et de gouvernement lors du sommet de Bruxelles, c'est que Sarkozy avait échappé et qu'ils appuient sa politique contre les Tziganes, oui, contre les Tziganes, en ce qui concerne à la position initialement adoptée par le commissaire de la Justice.
Qu'est-il arrivé, par conséquent, les demandes les précisions suivantes à partir de notre organisation:
Premièrement: Nous ne savons pas comment les hauts dirigeants sont entrés dans le vif du sujet, c'est-à-dire, dans l'analyse du comportement du gouvernement français qui, selon l'opinion majoritaire du Parlement européen, a violé la loi française, les accords internationaux et la Constitution européenne. Toute sa force, qui est immense, a été destiné à protéger le président français, qui sentait son honneur et la grandeur "grièvement blessé par les propos de Mme Reding.
Deuxièmement: Tout le monde a entendu que le président de la Commission Barroso Joao et Nicolas Sarkozy ont eu un combat très fort. Des sources crédibles affirment qu'ils criaient les uns les autres. Barroso défend son commissaire et Sarkozy dire que Mme Redding avait offensé tous les Français. À ce stade, se souciait peu de la douleur de centaines, voire des milliers, des enfants et des personnes âgées expulsées sans avoir rien fait de mal à justifier une telle violence gouvernementale. Le président français sait très bien comment gérer les ressorts populistes et le reste de la tête du gouvernement, nous ne savons pas si consciemment ou inconsciemment, ils étaient tombés dans le piège. Les Roumains et les Bulgares Tsiganes ont été définitivement mis de côté. L'important était de condamner le commissaire et, en même temps, laisser Sarkozy libres de continuer à expulser les Tsiganes, malgré que le Parlement européen lui a ordonné d'arrêter immédiatement les expulsions de masse.
Troisième: À l'Union Romani, devant le Président Sarkozy a provoqué cette confrontation au cœur du Sommet, nous avons dit que la comparaison faite par Mme Reding a été exagérée et pas du tout comparable à la déportation des Juifs et des Tsiganes faites par les collaborationnistes français gouvernement qui ont envoyé des milliers de chambres à gaz nazies de personnes innocentes. Alors que, personne ne pourra nous accuser de populisme démagogique que nous avons fait observer dans les dirigeants français acclamé par la plupart des gouverneurs qui ont participé au Sommet.
Quatrièmement: Nous comprenons que les chefs de gouvernement, réunis en conclave, ont une prédisposition particulière à se comprendre mutuellement. Il est humain et naturel. Mais nous ne partageons pas les déclarations d'un leader européen qui a accepté les explications de son homologue français, comme si les déclarations de l'accusé qui est maintenant, d'autres non plus par le Parlement européen et la Commission, serait la Parole de Dieu ne fait aucun doute.
Cinquièmement: Nous exprimons notre tristesse et de déception parce que les dirigeants européens lors du sommet n'a pas eu le courage d'arrêter le président français. Il aurait suffi si un seul aurait accepté la résolution adoptée par le Parlement européen et du commissaire sera d'enquêter sur la circulaire émise par le ministère de l'Intérieur pour les postes de police français donnant des instructions à démanteler les camps de Roms. C'est-à-dire, donner un raciste, inconstitutionnelle, anti-européenne, inhumains et clair afin connotations nazies. Mais malheureusement, cela n'a pas eu lieu.
Sixième: Mais les Gitans, nous avons foi dans le peuple de bonne volonté de l'Europe, qui sont la majorité. Les citoyens à la fois de la gauche et la droite, libéraux ou conservateurs qui ne sont pas du tout d'accord avec le comportement du gouvernement français, rien à voir avec le peuple français, qui donne M. Sarkozy de 32% par rapport à des attentes électorales les 53% que sont donnés à son opposition.
Septième: Mais nous, en tirant la force dont nous n'avons pas plus besoin, nous arriverons à la Cour de justice des Communautés européennes. Et les juges, les 27 juges de la Cour, seront ceux qui feront une déclaration que nous ne doutons pas sera exemplaire et convictions contre le gouvernement français et contre ceux qui veulent chercher à se faire justice eux-mêmes.
Juan de Dios Ramírez-Heredia
Président de l'Union Romani
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