samedi 4 juin 2011
Les URGENCES MÉDICALES et leurs travers
Cela va faire un an nous avons déjà eu la mauvaise expérience. Aujourd’hui encore nous avons dû, suite à de mauvais résultats pour Joël, nous rendre aux URGENCES.
Au départ nous appelons notre médecin traitant, prescripteur de l’examen et lui donnons téléphoniquement les résultats, il était 12 h 10. Réponse du docteur « allez aux urgences », non il n’a pas voulu perdre un peu sur son week-end et nous recevoir.
Donc, résultats des analyses en mains nous partons aux urgences à Aix-en-Provence. Lorsque nous arrivons nous constatons qu’il y avait beaucoup de mondes qui attendaient. D’autre part nous avions pu constater qu’ils y avaient 4 VSAB de pompiers.
Nous passons à l’accueil qui enregistre notre venue et nous demande de nous assoir « on vous appellera ».
Nous attendons comme les autres personnes présentes. Environ une heure après une infirmière très peu aimable nous appelle. Prends les résultats de l’analyse sanguine sans trop la regarder pour ne pas dire qu’elle ne l’a pas du tout regardée et pose quelques questions à Joël en lui demandant s’il est diabétique. Il répond que non, elle prend la tension et vérifie le diabète ! Alors que nous lui indiquons que notre médecin a souhaité que nous nous rendions aux Urgences car, comme cela s’est passé l’an dernier, il a décelé d’après les résultats de l’analyse une grave infection urinaire qu’il faut vite enrayer. D’autres VSAB arrivent et l’infirmière nous demande de retourner attendre et que l’on nous appellerait.
Nous attendons encore une fois et échangeons avec d’autres personnes dont pour certains sont là depuis le matin sans aucun soin !
D’autres personnes souffrantes arrivent et sont prises en charge sur le champ parce qu’ils connaissent quelqu’un ou « rouspètent » et les autres sont toujours sur le banc à souffrir.
Non patient au bout de plus de quatre heures d’attente, Joël énervé récupère ses résultats sanguins nous appelons des amis qui nous donnent l’adresse d’une urgence médicale.
Lorsque nous y arrivons, le médecin présent regarde les résultats et dit qu’il faut faire de toute urgence une perfusion (et cela pendant trois jours) pour enrayer cette infection importante. Joël devra rester trois semaines en traitement.
Supposons que nous n’allions pas ailleurs vu que c’est samedi et qu’il était fatigué et énervé. Nous rentrons et ensuite.
Bravo les urgences et merci à ceux qui réduisent le personnel.
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