mercredi 26 août 2015

Suite au drame chez les gens du voyage






Ci-dessous l’info en continue de « BFMTV » nous révèle que le tireur avait été « adopté » par la communauté des gens du voyage.

Contrairement à ce que certains se plaisent à dire nous partageons notre façon de vivre et acceptons toutes les personnes.

Quand nous avons appris la nouvelle hier nous étions surpris que le tireur présumé  ait pu tirer sur un enfant car chez nous faire du mal à un enfant est impensable.

Suite à un différend (que nous ne connaissons pas) a fait quatre morts et trois blessés. Ce monsieur âgé de 72 ans, en état d’ébriété mérite une punition exemplaire.


L’homme qui a ouvert le feu, mardi, dans un camp de nomades, à Roye, dans la Somme, est âgé de 72 ans, et est inconnu de la police et de la justice.

Les coups de feu ont fait quatre morts, dont un bébé et un gendarme. Mardi soir, un homme a ouvert le feu dans un campement de gens du voyage à Roye, dans la Somme, tuant froidement 4 personnes, dont un bébé de six mois et un gendarme.

Selon les premiers éléments de l’enquête, basés sur des témoignages, une violente querelle aurait éclaté au sein du camp, situé à proximité de l’autoroute A1. Le forcené, qui se trouvait peut-être en état d'ébriété, est arrivé sur les lieux du drame en fin d’après-midi, avant de tirer sur les membres d’une même famille, tuant un homme, une femme et un bébé.

Lorsque les gendarmes sont arrivés sur place, l’homme les a également pris pour cible. Deux gendarmes ont été grièvement blessés, et l’un d’eux, âgé de 44 ans, a succombé à ses blessures un peu plus tard dans la soirée.
Inconnu des services de police

Selon nos informations, le suspect, âgé de 72 ans, n’a pas d’antécédents judiciaires et est inconnu de la police et de la justice. Le mobile du conflit reste pour l’heure inconnu, mais il semblerait qu’un différend existait depuis plusieurs mois entre l’auteur des coups de feu et l’homme qui a été abattu.

Contrairement à ce qui a été avancé mardi soir, le tireur présumé n’appartient pas à la communauté des gens du voyage mais avait adopté leur style de vie nomade. Par ailleurs, l'individu s’est rendu sur les lieux de la fusillade avec une voiture, qu’il a incendiée après les faits.

Toujours en soins à l’hôpital, le tireur présumé, grièvement blessé pendant son interpellation, n'a pas encore été entendu par les enquêteurs ce mercredi matin, mais sera placé en garde à vue dès que les gendarmes auront obtenu le feu vert des médecins.
Communauté "sédentarisée"

Lors d'une conférence de presse donnée dans la matinée, ce mercredi, l'adjoint au maire de la commune de Roye, Pascal Delnef, a fait part d'un "sentiment d'immense tristesse" et d'une "communauté meurtrie" par la perte de trois de ses membres. 

Il a par ailleurs précisé que cette fameuse communauté de gens du voyage présente dans la commune est en fait constituée de familles sédentarisées, avec environ cinq caravanes installées depuis plusieurs années. "C'est une petite communauté sédentarisée. Ils font partie de notre univers royien", a ainsi indiqué Pascal Delnef.
http://www.bfmtv.com/societe/fusillade-dans-la-somme-qui-est-le-tireur-presume-909808.html

mardi 25 août 2015

Fusillade dans la Somme dans une aire d'accueil des gens du voyage




 Nous ne connaissons pas tous les éléments de ce drame mais savons qu'un bébé de 6 mois et mort  ainsi que deux adultes faisant partie des gens du voyage.

Un gendarme a lui aussi perdu la vie.

Actuellement il y a une fillette de 10 ans dont le pronostic vital est engagé.

Nous pensons à toutes les familles endeuillées et à toutes celles auprès des blessés.



http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/08/25/01016-20150825ARTFIG00309-somme-une-fusillade-fait-trois-morts-et-quatre-blesses-graves.php

samedi 22 août 2015

D'un monde à l'autre Une vie, un voyage

 Je vous recommande expressément ce livre




D'un monde à l'autre est un récit de vie, celui d'une jeune fille qui depuis son enfance se disait: quand je serai grande, je serai Tzigane. C'est l'histoire de ce rêve nomade qui est racontée, tranche de vie de découverte en découverte jusqu'en Camargue au sein du peuple des routes...

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Luttons ensemble contre le cancer

ON COMPTE SUR VOUS


Cliquez sur le lien ci-dessous pour écouter le message de Gérard FERRER le Gitan Marseillais








dimanche 2 août 2015

Zigeunernacht



Cette date du 2 août est celle du souvenir de la 
« Zigeunernacht » du 2 au 3 août 1944 où les nazis ont décidé de la liquidation du camp des tziganes d’Auschwitz-Birkenau, nuit où 2.897 Sintis et Rroms, hommes, femmes et enfants, ont été exterminés dans les chambres à gaz.

Pour ne jamais oublier 02/08/1944

 
Gelem Gelem par Gérard FERRER hymne de tous les gitans du monde


 
Les Bohémiens par Catherine RINGER du film LIBERTE de Tony Gatlif

samedi 1 août 2015

Triste souvenir pour Albert celui du 02 août 1944 au soir





 Ils partaient vers la mort en musique mais ils ne le savaient pas


Le 19/07/2015 lors de la commémoration des crimes racistes et antisémites commis sous l’autorité de l’état Français de l’époque, après le discours de la Présidente de Notre Route un ressortissant de la communauté de confession israélite « Albert » ayant écouté l’évocation de la nuit du 2 au 3 Août 1944 est venu nous accoster avec une grande tristesse dans le regard pour nous raconter une partie de cette journée du 2 août 1944. 

« Je vais vous narrer une bien triste anecdote. Depuis quelques jours nous allions le soir écouter de la musique, très belle musique soi dit en passant et nous apprenions que c’était des musiciens tziganes. »  Il y avait 2 guitares, 1 violon, une contrebasse  et surtout une chanteuse belle et dotée d’une voix exceptionnelle. »

«  Le soir du 2 Août 1944 nous avons vu partir ces musiciens qui marchaient vers on ne savait où, en jouant et chantant et puis les jours suivants nous n’avons plus rien entendu  et quelques temps après, 7 ou 8 jours peut-être, nous apprenions que la musique c’était fini car leur vie c’était arrêtée dans le sinistre camp de Auschwitz Birkenau  dans une chambre à gaz. »

« Votre évocation de cette journée m’a remémorée le sort de ces tziganes j’ai voulu vous faire partager ce témoignage. »

 Les membres de l’association garderont à jamais en mémoire ce personnage qui tentait de dissimuler ce numéro indélébile incrusté sur son avant-bras droit et il était en compagnie de son épouse.

Ne connaissant pas son nom de famille mais seulement son prénom nous lui disons : « un grand merci Albert à vous-même et à votre épouse nous ne vous oublierons pas.