jeudi 30 janvier 2014

Journée internationale de commémoration



Dans un souci de commémoration nous avons fait une demande de dépôt de fleurs pour commémorer la mémoire des victimes de l'holocauste.

Après discussion nous avons obtenu l'autorisation de le faire ce SAMEDI 1er FÉVRIER 2014 et nous remercions la municipalité de GARDANNE.

Il est bien entendu que tous nos amis aux alentours de Gardanne qui souhaiteraient se joindre à nous sont les bienvenus.

dimanche 26 janvier 2014

Journée de la mémoire de l'Holocauste

En Décembre 2002, le Conseil de l'Europe proclame le 27 janvier "Journée européenne de la mémoire de l'Holocauste et de la prévention des crimes contre l'humanité".

27 janvier 2005 : 60ème anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz.

Novembre 2005 : l'Assemblée générale de l'ONU proclame le 27 janvier "Journée internationale d commémoration en mémoire des victimes de l'holocauste".

Mais nous constatons que cette journée n'est pratiquement pas commémorée à croire que nos dirigeants ne sont ou ne veulent pas s'informer sur les lois européennes!?

Commémorer tous les génocides





Le Génocide des Tziganes : 1939/1945 -estimation 
PAYS ESTIMATION ESTIMATION
de la POPULATION Tzigane des Tziganes morts
Allemagne 20 000 16 000
Autriche 11 200 6 500
Belgique 800 600
Bohême et Moravie 14 540 12 500
Ex Yougoslavie 108 500 40 000
Estonie 1 000 1 000
France 100 000 26 000
Italie 25 000 1 000
Pays-Bas 500 500
Luxembourg 200 200
Hongrie 100 000 28 000
Lettonie 6 000 3 500
Lituanie 1 000 1 000
Pologne 50 000 35 000
Roumanie 300 000 36 000
U.R.S.S.S. 200 000 50 000
Slovaquie 80 000 2 000
Total Estimation 1 018 740 259 800



Les chiffres donnés ci-dessus sont ceux de la fin de la guerre
Ils ont malheureusement étaient revus à la hausse à la suite de documents retrouvés
et sont largement dépassés puisque approchant le million








 Cela fait 25 ans un quart de siècle que nous nous battons pour cette cause, moi la Tsigane j’affirme que  proportionnellement, il y a eu beaucoup plus de victimes parmi la population tsiganes que parmi les autres ethnies, mais on ne parle que des victimes de confession israélite, sans vouloir occulter leurs souffrances et leur 6 millions de morts, force nous est de constater et de dire que c’est une injustice historique qui devient de plus en plus insupportable ! Toute victime a la même valeur; propager l'idée contraire en ne prenant en compte  uniquement  le génocide Juif revient à nier les autres outre celui des tziganes, des homosexuels, des communistes, des  handicapés, des témoins de Jehova, des résistants etc...  C’est  pourtant ce que font bon nombres de médias en particulier. Si ceci continuait, cela pourrait vouloir dire que les citoyens de confession israélite voudraient instrumentaliser  leurs souffrances à des fins politiques en quelque sorte: on a vécu le génocide  (qui pour nous a pour nom Samudaripen) continuer dans la voie de l’unique Shoa s’apparenterait à un chantage intolérable.

Pour exemple : il est sorti, à 15 jours d’intervalle, deux grands films sur le sujet : La Rafle qui a bénéficié d’une couverture médiatique d’un niveau exceptionnel et Liberté.  Il est à noter que le film de Tony Gatlif, traitant du sujet, a été presque passé sous silence, par les médias aux ordres, sans doute pour tenter de reléguer encore et toujours le génocide tsigane (plus important proportionnellement que tous les autres) dans les oubliettes. Oubliettes bien commode pour METTRE EN AVANT cet événement (la Shoah) alors que les Tsiganes ont encore plus souffert.

 Il faut sortir de cette exploitation éhontée d'une cause - l'intolérable génocide nazi - au profit d'une seule communauté, alors que d'autres en ont été tout autant victimes voire plus les Tsiganes, notamment et qu’enfin le gouvernement Français reconnaisse le samudaripen et par la même l’implication du gouvernement aux ordres de Pétain, Laval, Bousquet et consort.  Il faut arrêter ce monopole mémoriel au profit d'une seule communauté, à longueur d'années,  70 ans après les évènements, surtout à des fins politiques, hégémoniques ! Pour réparer l'injustice historique qui est faite aux autres populations, j'appelle solennellement les citoyens à exiger une commémoration du Samudaripen  car aucun génocide ne doit être plus valorisé et nous attribuer un jour spécifique à nos populations.

Ce serait rendre justice à toutes les victimes, ce serait réparer une injustice historique, enfin cela désamorcerait l'exploitation éhontée d'une juste cause à des fins injustes, hautement politiques et sources de multiples souffrances pour l'humanité entière  et ce n’est pas la position de Monsieur Badinter qui a apporté tout son soutien à la reconnaissance de la Shoa et qui aujourd’hui a un discours tout à fait différent  arguant qu’un génocide ne peut être  défini par une loi mémorielle mais par les historiens. Si j’ai un profond respect pour monsieur Badinter nous ne pouvons  en aucun cas être d’accord avec lui ou alors il faudrait reprendre une fable de Jean de la Fontaine dans laquelle la morale disait  « que vous soyez puissants  ou misérables les jugements de cours vous rendront blancs ou noirs ».

Enfin, à l'heure où l'Oligarchie financière  prépare des évènements  tragiques, au travers de pandémies, guerres ou crises, la mémoire des génocides devrait  servir à prévenir d'autres événements tragiques qui pèsent au-dessus de nos têtes.

Pour terminer, il est inévitable de parler des  (Justes de France ayant sauvé des Juifs) vous allez me demander (pour ceux qui ne sont pas au fait) qu’est-ce que c’est : tout simplement pendant la seconde guerre mondiale il y a des gens en France qui ont caché des personnes  pour leur éviter la déportation  ou l’envoi dans des camps d’internements.
Il est à noter que ces gens-là sont honorés chaque  année mais en tant qu’ayant sauvés des juifs et pourtant certains ont pu sauver des tziganes, ou des homos sexuel, ou des communistes etc…  mais ces derniers ne seront jamais honorés car le dossier de ces personnes  doit être avalisé par un organisme situé en Israël  et qui a pour nom YAD WASHEM, voilà encore une raison supplémentaire de lutter pour la reconnaissance du Samudaripen.

vendredi 24 janvier 2014

Affaire BOURDOULEIX





Hier a eu lieu le procès de ce maire indélicat avec des propos inacceptables à l’égard de nos communautés : « Hitler n’en a pas tué assez, hein… » C’est une question puisque le « hein » demande une approbation.

-          Le tribunal, dans le premier dossier (apologie de crime contre l'Humanité) condamne Gilles Bourdouleix à 3 000 euros d'amende avec sursis
-          Le tribunal condamne Gilles Bourdouleix à 600 euros avec sursis au titre de l'injure et de la diffamation.

Soyons satisfaits de la condamnation d’hier.

Nous pouvons déplorer que Monsieur BOURDOULEIX ne se soit pas présenté au tribunal et n’est  pas jugé utile de présenter des excuses à l’encontre de tous nos déportés et morts dans les camps.

Nous attendons la suite à savoir s’il va y avoir Appel de la décision.

Nous remercions notre avocat ainsi que toutes les personnes présentes le jour du procès. Je déplore mon absence dû à des problèmes personnels suite à un accident de la circulation.

jeudi 23 janvier 2014

PROCES BOURDOULEIX : Le jugement vient de tomber nous sommes déçus



                On passe désormais à la seconde affaire, à savoir l'injure et la diffamation contre le journaliste du Courrier de l'Ouest, Fabien Leduc.
jeudi 23 janvier 2014 18h41

                L'avocat de Gilles Bourdouleix, Me Pierre Brossard, réclame la nullité de la citation.
jeudi 23 janvier 2014 18h42

                Il développe ses arguments juridiques
jeudi 23 janvier 2014 18h45

                Me Pierre Brossard en appelle à la Cour européenne des droits de l'Homme.
jeudi 23 janvier 2014 18h46

                Il plaide "l'excuse de vérité".
jeudi 23 janvier 2014 18h47

                On vous le rappelle, le jugement, dans l'affaire de l'apologie de crime contre l'Humanité, sera rendu ce soir. Le Procureur de la République réclame six mois de prison avec sursis et 5000 euros d'amende contre Gilles Bourdouleix.
jeudi 23 janvier 2014 18h49

                Fabien Leduc est défendu par Me Rouiller
jeudi 23 janvier 2014 18h50

                Me Pascal Rouiller prend la parole pour défendre la régularité de la citation
jeudi 23 janvier 2014 18h51

                Le procureur demande à joindre l'incident au fond.
jeudi 23 janvier 2014 18h52

                On commence à examiner les faits.
jeudi 23 janvier 2014 18h52

                Le 23 juillet 2013, Gilles Bourdouleix intervient dans un journal télévisé.
jeudi 23 janvier 2014 18h53

                Il indique : "Le journaliste ne peut pas avoir enregistré car il était plus loin. C'est le journaliste qui me dit qu'Hitler n'en avait pas tué assez."
jeudi 23 janvier 2014 18h54

                Dans ce JT, le député-maire de Cholet traite le journaliste du Courrier de l'Ouest Fabien Leduc de "petit merdeux".
jeudi 23 janvier 2014 18h56

                Le président fait projeter la vidéo.
jeudi 23 janvier 2014 18h58

                Petit blanc, le président a du mal à trouver la séquence sur le PC du tribunal…
jeudi 23 janvier 2014 19h00

                La séquence est enfin projetée. A voir ci-dessous.
jeudi 23 janvier 2014 19h01

                Gilles Bourdouleix à la télé : "Quelqu'un comme ça oui, c'est un petit merdeux, c'est pas un journaliste."
jeudi 23 janvier 2014 19h03

                Suite à cette diffusion, Fabien Leduc porte plainte pour injure et diffamation.
jeudi 23 janvier 2014 19h04
                Durant son audition, Gilles Bourdouleix confirme les propos.
jeudi 23 janvier 2014 19h04

                Arnaud Baron, président du tribunal, rappelle une nouvelle fois que Gilles Bourdouleix n'a pas de casier. Il ne répète pas les éléments de personnalité indiquée en début d'après-midi.
jeudi 23 janvier 2014 19h06


                La parole est à Me Rouiller, au nom du Courrier de l'Ouest et de Fabien Leduc.
jeudi 23 janvier 2014 19h06


                Me Pascal Rouiller souligne la présence de Fabien Leduc, du rédacteur en chef du journal et du directeur général délégué… "bref tout le monde est là sauf Gilles Bourdouleix."
jeudi 23 janvier 2014 19h07

                Me Pascal Rouiller : "Vous trouverez dans le dossier une foule de propos de Gilles Bourdouleix à l'égard de la communauté des journalistes, du "groupe Hutin".
jeudi 23 janvier 2014 19h07

Me Pascal Rouiller : "Encore à la veille de l'audience, vendredi dernier, sur la commune sécurisée de Gilles Bourdouleix, deux véhicules de journaliste brûlaient… ce qui n'a bien évidemment rien à voir avec la violence prônée par M. Bourdouleix."
jeudi 23 janvier 2014 19h09

Me Pascal Rouiller : "Je réclame un euro symbolique pour le journal, 1500 euros pour le journaliste."
jeudi 23 janvier 2014 19h09

Me Pascal Rouiller : "Le 21 juillet, monsieur Leduc fait on travail de journaliste. Il est là où son devoir d'informer l'appelle. Que ça plaise ou non. Il va d'ailleurs saluer le maire qui lui dit qu'il ne l'aime pas."
jeudi 23 janvier 2014 19h10

"Le maire ce jour-là, vient en bermuda, pour inviter des gens à partir parce qu'ils occupent illégalement le terrain. Il n'a pas le pouvoir de police. Il n'a aucun pouvoir à cet instant. Mais il décide, une nouvelle fois, comme tout shérif qui se respecte, d'y aller personnellement."
jeudi 23 janvier 2014 19h11

Me Pascal Rouiller rappelle l'incident de 2012 et la plainte contre Manuel Valls pour "mise en danger de la vie d'autrui"
jeudi 23 janvier 2014 19h12

Me Pascal Rouiller : "Voilà ce que ce monsieur fait, dans le soucis d'apaiser la situation. On était en 2012. Eh bien en 2013 il recommence."
jeudi 23 janvier 2014 19h12

"Il va, sur l'enregistrement, dire les choses très calmement. Le propos sur l'apologie est d'ailleurs dit très calmement aussi. Ce n'est pas un écart, ce n'est pas un débordement, il dit le fond de sa pensé."
jeudi 23 janvier 2014 19h13

Me Pascal Rouiller : "Le journaliste fait son travail de journaliste."
jeudi 23 janvier 2014 19h14

Me Pascal Rouiller : "Bourdouleix dit alors ne jamais avoir tenu les propos. Puis vient la publication de l'enregistrement."
jeudi 23 janvier 2014 19h14

"On a alors une deuxième version de Gilles Bourdouleix."
jeudi 23 janvier 2014 19h15

"Puis il livre une troisième version pour dire qu'il n'a fait que répéter une phrase prononcée par le journaliste."
jeudi 23 janvier 2014 19h16

"Ensuite il nous explique qu'il voulait dire qu'Hitler n'avait pas tué assez de nazis…"
jeudi 23 janvier 2014 19h16

"Quand il explique cela, c'est totalement honteux et indigne de la qualité de ce monsieur, élu de la République."
jeudi 23 janvier 2014 19h17

"Nous avons fait notre travail et nous ne le regrettons pas."
jeudi 23 janvier 2014 19h17

Me Pascal Rouiller : "Puisque Gilles Bourdouleix s'est fait surprendre, le journaliste est accusé de déloyauté."
jeudi 23 janvier 2014 19h18

Me Pascal Rouiller : "Gilles Bourdouleix va dire que cet enregistrement a été bidouillé. Il explique clairement qu'il y a un clic sur la bande d'enregistrement."
jeudi 23 janvier 2014 19h19

"Expertise à votre dossier, jamais la bande son n'a été d'une quelconque manière bidouillé."
jeudi 23 janvier 2014 19h19


"Monsieur Bourdouleix a menti en disant n'avoir jamais prononcé la phrase. Il a menti e disant avoir répété les propos du journaliste. Il n'a de cesse de vouloir échapper à sa responsabilité pénale."
jeudi 23 janvier 2014 19h20

"Alors il crie au complot. J'aurai aimé l'entendre aujourd'hui s'il était venu à la barre."
jeudi 23 janvier 2014 19h21
Me Pascal Rouiller : "Il a couru les journaux télévisés le lendemain et le surlendemain pour dire qu'il faisait l'objet d'un combat de longue date avec un journal. On a eu très peur pour monsieur Leduc à l'époque."
jeudi 23 janvier 2014 19h23

Me Pascal Rouiller : "Ça fait 70 ans que le journal existe en Maine-et-Loire et en Deux-Sèvres. Il est issu de la Libération. On a au cœur le soucis de tolérance, d'ouverture, de pluralisme au Courrier de l'Ouest. Oui le journal a fait son travail."
jeudi 23 janvier 2014 19h24

Me Pascal Rouiller évoque les menaces reçues à l'encontre de Fabien Leduc et sa peur.
jeudi 23 janvier 2014 19h24

                La parole est au procureur de la Républque Yves Gambert
jeudi 23 janvier 2014 19h24

                La parole est au procureur de la Républque Yves Gambert
jeudi 23 janvier 2014 19h24

"Je n'ai pas pour habitude de prendre l'initiative de poursuivre en matière de diffamation et d'insulte. Je l'ai fait car cela a été fait de manière indissociable de ce qui a précédé."
jeudi 23 janvier 2014 19h26


Yves Gambert rejette les demandes de nullité de Me Pierre Brossard, avocat de Gilles Bourdouleix.
jeudi 23 janvier 2014 19h26

Il argumente juridiquement sa position
jeudi 23 janvier 2014 19h28

Le procureur continue de développer ses argument pour rejeter la demande de nullité.
jeudi 23 janvier 2014 19h30

Sur le fond, "laisser entendre que la bande son a été bidouillée est diffamatoire. Les propos tenus à l'encontre du journaliste relèvent de l'injure. Vous devez entrer en voie de condamnation"
jeudi 23 janvier 2014 19h34

Précision du procureur de la République : "Vous laissez entendre qu'on ne peut pas enregistrer une personne à son insu. Ce n'est pas toujours vrai."
jeudi 23 janvier 2014 19h35

"Ce qui est interdit, c'est de capter des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel."
jeudi 23 janvier 2014 19h35

Yves Gambert : "Ce n'est pas le cas ici."
jeudi 23 janvier 2014 19h35

Yves Gambert : "A partir du moment où on répond aux questions d'un journaliste, qu'on sait qu'il est journaliste, je suis désolé, on n'est pas dans le domaine privé. Jamais."
jeudi 23 janvier 2014 19h36

                Le Procureur laisse le tribunal apprécier la sanction. Il précise que la loi prévoit une amende de 12 000 euros. "Gilles Bourdouleix ne doit pas être sur la paille, vous apprécierez l'amende."
jeudi 23 janvier 2014 19h39

                La parole est à l'avocat de Gilles Bourdouleix Me Pierre Brossard.
jeudi 23 janvier 2014 19h39


Me Pierre Brossard : "C'est Gilles Bourdouleix qui brûle les voitures, c'est Gilles Bourdouleix qui prononce des menaces de mort. Je m'étonne que Gilles Bourdouleix ne soit pas à Cayenne !"
jeudi 23 janvier 2014 19h40

L'avocat cite les lettres de soutien à Gilles Bourdouleix.
jeudi 23 janvier 2014 19h41

L'avocat souligne que Cholet est jumelée avec une ville de Roumanie depuis 20 ans et que son maire soutient Gilles Bourdouleix.
jeudi 23 janvier 2014 19h41

Sur l'enregistrement à son insu : "Est-ce que le journaliste avait pris rendez-vous avec Gilles Bourdouleix pour une interview ? Non !"
jeudi 23 janvier 2014 19h42

Sur les quatre versions : "Monsieur Bourdouleix ne comprend pas qu'on puisse être jeté aux chiens pour onze secondes ! Il considère que le travail du journaliste n'a pas été objectif."
jeudi 23 janvier 2014 19h43


Me Pierre Brossard : "Une phrase ne doit ps être sortie de son contexte. Je vous dis comme je le pense, je n'ai rien contre monsieur Leduc. Il s'est dit qu'il avait un scoop, qu'il allait faire parler de lui. Il était d'ailleurs extrêmement content de lui."
jeudi 23 janvier 2014 19h44

Me Pierre Brossard : "Les faits ont la vie dure, mais ça fait trois ans que Gilles Bourdouleix est roulé dans la boue. Par le même journal. Et je parle du Courrier de l'Ouest, pas de Ouest France."
jeudi 23 janvier 2014 19h45

A l'adresse de Me Rouiller : "Cette histoire de groupe Hutin, c'est dégueulasse !"
jeudi 23 janvier 2014 19h46

L'avocat de se lancer, pour étayer son propos, dans une revue de presse du Courrier de l'Ouest …
jeudi 23 janvier 2014 19h47

Il a prévenu… ça va durer vingt minutes !
jeudi 23 janvier 2014 19h47

Il cite notamment la chronique humoristique "Cholet Marrons"
jeudi 23 janvier 2014 19h49

"Ça rappelle le bon vieux temps stalinien", dit l'avocat, poursuivant sa lecture des articles parus dans la chronique "Cholet Marrons"
jeudi 23 janvier 2014 19h50

L'avocat questionne : "Le Courrier de l'Ouest est-il un journal d'information ou un journal satirique ?"
jeudi 23 janvier 2014 19h51

Me Pierre Brossard met en cause le journal qui a publié un droit de réponse de manière trop tardive
jeudi 23 janvier 2014 19h52

                Pendant ce temps… il n'y a plus que six personnes dans la salle
jeudi 23 janvier 2014 19h52

Me Pierre Brossard continue sa lecture de la chronique humoristique "Cholet Marrons". Sans préciser qu'il s'agit d'articles parus dans ce cadre.
jeudi 23 janvier 2014 19h54


L'avocat de Gilles Bourdouleix poursuit sa charge contre Le Courrier de l'Ouest. Il évoque les précédents judiciaires entre le journal et le député-maire.
jeudi 23 janvier 2014 19h57

Me Pierre Brossard poursuit avec une étude comparée des articles du Courrier de l'Ouest et ceux de Ouest France.
jeudi 23 janvier 2014 19h58

"On ment aux gens et aux futurs électeurs. Gilles Bourdouleix est obligé de faire un rectificatif."
jeudi 23 janvier 2014 19h59

Me Pierre Brossard ne souhaite pas s'étendre sur les faits.
jeudi 23 janvier 2014 19h59

Il déplore les condamnations médiatiques nationales du 22 juillet
jeudi 23 janvier 2014 20h00

Me Pierre Brossard : "Le journaliste est venu parce qu'il avait senti le vent venir dit-il."
jeudi 23 janvier 2014 20h02

Me Pierre Brossard : "Je n'arrive pas à comprendre comment on peut avoir aussi peu de recul et d'objectivité."
jeudi 23 janvier 2014 20h03

"Que Gilles Bourdouleix puisse à un moment réagir, je le comprends."
jeudi 23 janvier 2014 20h03

Il réclame la relaxe.
jeudi 23 janvier 2014 20h04

Fin de la plaidoirie
jeudi 23 janvier 2014 20h04

                L'audience est suspendue. Le tribunal se retire pour délibérer.
jeudi 23 janvier 2014 20h05

                Le jugement sera rendu ce soir.
jeudi 23 janvier 2014 20h05

                A suivre en direct sur www.courrierdelouest.fr
jeudi 23 janvier 2014 20h05

                On ne sait pas à quelle heure le jugement sera prononcé
jeudi 23 janvier 2014 20h06

[info] Interrogé sur la réaction de Gilles Bourdouleix, son avocat indique ce soir que le député-maire de Cholet a suivi les débats sur www.courrierdelouest.fr
jeudi 23 janvier 2014 21h39

                [info] "Il est extrêmement surpris par la rapidité du délibéré" (attendu ce soir), ajoute Me Pierre Brossard.
jeudi 23 janvier 2014 21h43

                [info] Le tribunal devrait revenir rendre son jugement dans une dizaine de minutes.
jeudi 23 janvier 2014 22h20

                Me Rouiller, l'avocat du Courrier de l'Ouest et de Fabien Leduc est de retour.
jeudi 23 janvier 2014 22h22

                L'avocat de Gilles Bourdouleix Me Pierre Brossard était arrivé plus tôt.
jeudi 23 janvier 2014 22h23

                Rappelons qu'il nous indiquait ce soir que son client était "surpris" de la rapidité du jugement qui va donc être prononcé dès ce soir.
jeudi 23 janvier 2014 22h24

                On apprend au passage que Gilles Bourdouleix a suivi le procès à distance… sur le site internet du Courrier de l'Ouest.
jeudi 23 janvier 2014 22h25

                Une demi-douzaine de journalistes attendent le jugement. Et quatre avocats sont présents.
jeudi 23 janvier 2014 22h26

                Le procureur Yves Gambert revient à son tour.
jeudi 23 janvier 2014 22h30

                L'audience est reprise
jeudi 23 janvier 2014 22h31

                Le tribunal, dans le premier dossier (apologie de crime contre l'Humanité) condamne Gilles Bourdouleix à 3 000 euros d'amende avec sursis
jeudi 23 janvier 2014 22h33

                Le tribunal condamne Gilles Bourdouleix à 600 euros avec sursis au titre de l'injure et de la diffamation.
jeudi 23 janvier 2014 22h34

                Merci à tous d'avoir suivi ce procès en direct
jeudi 23 janvier 2014 22h38

                Rendez-vous dans Le Courrier de l'Ouest de vendredi. Une page spéciale est consacrée à ce projet.
jeudi 23 janvier 2014 22h38