mardi 29 mars 2011

On nous tend une main




Le collectif arménien contre le négationnisme VAN partage l'appel à la reconnaisscne du génocide tzigane.

Un grand merci à ce peuple qui a subi également des atrocités

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&&id=52924#

vendredi 25 mars 2011

Hongrie: procès sous haute sécurité de quatre meurtriers présumés de Roms

(AFP) – 25 mars 2011

BUDAPEST — Un procès sous haute sécurité a débuté vendredi à Budapest contre quatre hommes accusés d'avoir tué six Roms, dont un enfant de 5 ans et son père, au cours d'une série d'attaques racistes de 2008 à 2009.

Les hommes, âgés de 29 à 43 ans, sont jugés pour crimes avec préméditation et risquent une peine de prison à vie.

Ils sont soupçonnés d'avoir perpétré entre juillet 2008 et août 2009 neuf attaques à la grenade, au fusil et au cocktail Molotov qui ont fait six morts. Les meurtriers présumés avaient notamment abattu un père et son fils de cinq ans ou une femme dans son sommeil.

Cinq autres personnes ont été gravement blessées, et une cinquantaine d'autres légèrement dans des attaques au cocktail Molotov, a précisé le procureur.

Selon l'acte d'accusation, les hommes avaient "une aversion particulière" pour les Roms et voulaient intimider l'ensemble de la communauté.

Le gang, composé d'un ancien soldat, un ingénieur du son, un cuisinier et un chef pâtissier, avait été arrêté le 21 août 2009 à Debrecen (est). Ils auraient en tout mené neuf attaques "d'une précision militaire", a déclaré le procureur.

La minorité Rom, souvent appauvrie et marginalisée, représente près d'un dixième de la population hongroise qui compte 10 millions d'habitants.

Près de 70% des Roms sont au chômage. Seulement 5% des jeunes Roms terminent leurs études secondaires et à peine 1,2% d'entre eux accèdent aux études supérieures.

La Hongrie, qui assure depuis janvier la présidence tournante de l'Union européenne, a fixé parmi ses priorités l'intégration de cette minorité en Europe.

Copyright © 2011 AFP. Tous droits réservés. Plus

mercredi 23 mars 2011


L’ASSOCIATION NOTRE ROUTE VOUS INVITE


8 avril 2011 à Gardanne Fêtons cette journée

14 h 00 Foyer 3ème âge Projections films / débats

A partir de 19 h 30 Parc de Valabre
Concert et soutien au Comité d’Action pour la Reconnaissance du Génocide Tzigane avec des groupes de divers horizons du monde Rrom : Flamenco, Manouche, Tziganes …

Avec la participation de Gérard FERRER
Parrain de l’association

Sous la présidence de Monsieur Roger MEÏ, Maire de Gardanne
& Monsieur Claude JORDA Conseiller Général


En partenariat CREDIT MUTUEL de GARDANNE










PROGRAMME 8 avril : Journée internationale des Roms


C’est le 8 avril 1971, que les Roms(ou Rroms), qui représentent la première minorité de l’Union européenne, choisissaient, malgré une situation encore difficile, les symboles de leur communauté ainsi que leur drapeau et leur hymne.

Peuple nomade formé de quatre groupes (Les Kalderash, les Curara, les Lovara; les Boyasa), il fait partis de la famille des tziganes, souvent surnommé Romanichel (« peuple de Rrom » en Sinti*).

Petit historique

C’est vers l'an 1000, que les Roms quittèrent l'Inde et l'Egypte dont ils sont originaires pour se rendre en Perse. Ils atteignirent les Balkans vers le XIVème siècle. Se dispersant à travers l’Europe, ils se christianisèrent au contact de la population chrétienne européenne.

C’est en Europe de l’Ouest, qu’ils connaîtront leur plus grandes vague de migration au XVIème siècle, où certain pays n’hésiteront pas à les déporter dans les colonies africaines et Américaines.
Jusqu’au XXème siècle, les Roms se retrouveront plus ou moins en bon terme avec les Européens.
Mais, dès 1930, ils seront victimes de la politique racial des nazis par l’extermination et le génocide.
On dénombre entre 250 000 et 500 000 déportés et tués sur les 700 000 qui vivaient en Europe. Cette période porte pour les Roms le nom de Samudaripen, c’est à dire « meurtre total » en langue Romani.

Les Roms d’aujourd’hui

On estime qu’il y a entre 7 et 9 millions de Roms qui vivent en Europe.
Beaucoup de Roms sont victimes de la tziganophobie. Et celle-ci ne peut être combattue que par la reconnaissance de leur histoire, de leur culture, et de leur contribution au patrimoine européen.
Par l'ignorance ou par des d’idées reçus, ils sont encore victimes à différents degrés du racisme et de la discrimination

Un devoir de mémoire

De nos jours, l’ampleur du génocide des Roms n’est pas assez reconnue au près d’un large public, et certain ignore même son existence. Cela est probablement du au fait qu’il aura fallu attendre 1982 pour que l’Allemagne reconnaisse officiellement ses responsabilités et en France seulement 1997, pour qu’un Président de la République y fasse référence, pour la première fois, dans une cérémonie en mémoire des victimes de la déportation.
En 2005, lors du 60ème anniversaire de la libération des camps, un hommage solennel a été rendu à toutes les victimes de cette barbarie, dont les Roms.
PROGRAMME DE LA JOURNEE

FOYER 3ème âge Gardanne projections films
14 h 00 Un camp tzigane où il ferait bon vivre
15 h 30 Débat avec des historiens
16 h 30 Dépôt de Gerbes aux monuments aux morts
17 h 00 Liberté de Tony Gatlif
18 h 30 Débat avec des historiens

PARC DE VALABRE à partir de
19 h 30 Festival des musiques Rrom
Flamenco, Manouche, Tzigane
Avec la participation de Gérard FERRER

Sous la présidence de Monsieur Roger MEÏ, maire de Gardanne & Monsieur Claude JORDA, conseiller général
En partenariat du Crédit Mutuel de Gardanne
L’association NOTRE ROUTE
vous invite
A fêter gratuitement la journée internationale des Rrom (gitans, tziganes, manouches, sintis etc.)

Pour un soutien à l’action de l’association pour la reconnaissance du génocide tzigane (C.A.R.G.T)


Boissons hygiéniques & sandwichs

mardi 22 mars 2011

Pétition sur "Comité d'Action pour la Reconnaissance du Génocide Tzigane" : Site de pétitions en ligne

Pétition sur "Comité d'Action pour la Reconnaissance du Génocide Tzigane" : Site de pétitions en ligne


Oui beaucoup de personnes sont allées signer (545 signatues aujourd'hui) mais cela ne suffit pas

Il nous faut sensibiliser autour de nous pour que nous soyons entendus. Merci pour toutes les personnes qui ont déjà signé mais faites passer le message

Car il ne faut pas oublier ce qui s'est passé lors des années noires et rendre hommage à tous ceux qui ont péri dans ces camsp de la mort

MERCI A TOUS

dimanche 20 mars 2011

jeudi 17 mars 2011

Propriétaire Oui et Non et surtout non pour un gitan




Elena nous fait part des soucis de Boï

Je t'envoie un lien sur le problèmes qui subit Boi et sa famille à Manosque.
Il a vraiment foutu de la m... "notre" président, tout le monde, et partout, et surtout contre les membres issus de toutes communautés se prend le droit d'expulser, d'insulter, d'humilier....et cela malgré toutes les recommendations de l'union et de conseil de l'europe. C'est désésperant!
Mais il faut surtout pas baisser les bras

A écouter l'intervention sur : faites un couper/coller

http://radio.zinzine2.free.fr/boiracine/boy.htm

L'association est de tout coeur avec Boï et les siens

Slovaquie: un nombre record de maires Rrom suscite les espoirs


De Tatiana BEDNARIKOVA (AFP) – Il y a 10 heures

KUNOVA TEPLICA — Le maire de la petite commune slovaque de Kunova Teplica (sud-est), Michal Barsony, fait partie de ces élus tziganes qui font rêver la communauté Rrom de pouvoir s'affranchir un jour de son statut de peuple pauvre et marginalisé au sein de l'UE.

M. Barsony a été élu maire aussi grâce aux voix des non-tziganes. "Je veux être un maire pour tous, pas seulement pour les Rrom", assure ce septuagénaire. Son village compte 680 habitants dont 50% de Rrom.

"Il est bien éduqué et respecté par les gens", commente Zuzana, une retraitée non-tzigane de 71 ans.

Vingt-neuf maires tziganes ont été élus lors des municipales de novembre 2010, chiffre en hausse significative comparé aux scrutins précédents: onze Rrom élus maires en 2002 et dix-neuf en 2006.

Au sein de la majorité slovaque "certains doivent encore s'habituer à ce nouveau phénomène", prévient toutefois Miroslav Pollak, en charge des questions relatives à la population rom à l'office du gouvernement.

"En ce moment, il y a 29 maires Rrom, alors que le pays compte plus de 2.900 villes et villages", souligne-t-il.

M. Barsony fait partie des 0,3% seulement des Rrom de Slovaquie ayant obtenu un diplôme universitaire.

Officiellement, 89.000 Rrom vivent dans ce pays de 5,4 millions d'habitants, selon le recensement de 2011. Mais le chiffre réel s'approche de 400.000, selon M. Pollak.

La moitié d'entre eux sont pleinement intégrés dans la société, alors que les autres vivotent dans des villages délabrés dans l'est du pays, souvent sans électricité, eau courante ni évacuation des eaux usées.

Le taux de chômage y avoisine 100% et le niveau de l'éducation demeure particulièrement bas.

Seuls 3% de jeunes Rrom slovaques sont diplômés de l'enseignement secondaire et un pourcentage élevé d'enfants sont scolarisés dans des écoles destinées d'abord aux handicapés mentaux.

Dès que M. Barsony s'engage dans une route non bitumée qui mène vers la partie rom de Kunova Teplica, il se voit entouré d'enfants et d'adultes lui racontant leurs difficultés.

"Cela fait quelque mois qu'il est maire et on voit déjà la différence", s'enthousiasme Maria Tomiova, 41 ans.

"Auparavant, nul ne s'est réellement soucié de nous. Le nouveau maire a fait aussitôt installer ici un containeur à déchets pour que nous puissions nettoyer nos maisons", raconte-t-elle devant sa demeure en briques couverte d'une toiture en bois qui tient à peine.

"Je n'ai pas assez d'argent pour payer la réparation de l'électricité. Le maire a promis de me prêter un peu d'argent pour que je puisse rembourser petit à petit mes dettes", dit Mme Tomiova, qui vit avec son mari de 235 euros d'allocations sociales par mois.

Le chômage, dont le taux dans la région dépasse 27%, constitue la principale préoccupation du maire.

"Si seulement je pouvais convaincre le gouvernement de relancer la production dans la fonderie locale. Des centaines de personnes pourraient y travailler", explique M. Barsony.

"On a des projets basés sur les fonds de l'UE, pour réparer la station d'épuration des eaux usées et améliorer l'état de nos routes. Cela nous aiderait beaucoup", poursuit le maire.

"Ce phénomène est très positif, c'est une preuve que les Rrom peuvent apporter une contribution à la société et combattre les stéréotypes", estime Tim Haughton, maître de conférences à l'Université de Birmingham, spécialisé dans l'Europe centrale et orientale.

Peut-être un exemple à suivre

Pétition sur "Comité d'Action pour la Reconnaissance du Génocide Tzigane" : Site de pétitions en ligne

Pétition sur "Comité d'Action pour la Reconnaissance du Génocide Tzigane" : Site de pétitions en ligne

Nous lançons à nouveau l'appel, oui la pétition a avancé mais ne baissons pas les bras IL FAUT CONTINUER A SENSIBILISER AUTOUR DE NOUS

SIGNEZ ET FAITES SIGNER MERCI

Attention après votre signature vous recevez un mail de "mesopinions.com" pour valider votre participation. Sans cette validation votre signature n'est pas prise en compte

MERCI

mardi 15 mars 2011

Gérard FERRER Blanca Palidez



Il est à préciser que Gérard était fatigué, alors imaginez-vous s'il n'avait pas mal à la gorge MERCI C'EST DU GRAND GERARD FERRER

lundi 14 mars 2011

Pétition sur "Comité d'Action pour la Reconnaissance du Génocide Tzigane" : Site de pétitions en ligne

Pétition sur "Comité d'Action pour la Reconnaissance du Génocide Tzigane" : Site de pétitions en ligne


Elle avance mais plus nous aurons de signatures plus le gouvernement nous entendra.

Alors signez et invitez vos amis à aller signer et surtout n'oubliez pas qu'après que vous ayez signé vous recevrez un mail de "mesopinions.com" pour valider votre participation. Sans cette validation votre participation ne sera pas prise en compte MERCI

dimanche 13 mars 2011

Tels pères tels fils LATCHO DROM


Les pères ont le cheveu un peu blanchi, les fils Baliardo et Reyes reprennent la tradition gipsy, goûtée dès le berceau.
Photo Patrick Nosetto


Les Gipsy King ont des enfants légitimes !
Publié le dimanche 13 mars 2011 à 10H17 La Provence
Le groupe mythique des Gipsy Kings a choisi sa propre succession : les enfants Reyes et Baliardo sont désormais les "Seven Kings"

Deux limousines se sont arrêtées hier aux abords de l'hôtel Imperator, à Nîmes. Le sourire aux lèvres en sont sortis les enfants des Gipsy Kings, les vrais, les "officiels". Depuis quelques années déjà, le nom qui a résonné sur les plus grandes scènes du monde a été utilisé par les uns et les autres, profitant de la notoriété des Gitans arlésiens, mais seuls les fils des familles Reyes et Baliardo peuvent en revendiquer le titre. Leurs pères ont tracé la route, faisant découvrir cette musique depuis Saint-Tropez et jusqu'au Carnegie Hall, passant allègrement des caravanes aux palaces.
Et les voici aujourd'hui réunis dans leur propre groupe, les Seven Kings. Nicolas Reyes, leader et voix mythique des Gipsy… originels s'explique : "Voir un groupe après nous, ça semble normal, je ne me vois pas vieux sur scène".
Une même musique, des styles personnels
Avec leurs racines ancrées dans la tradition musicale gitane, José, Canut, Georges, Yohann, Paul, Thomas et Tambo appartiennent à la troisième génération de chanteurs de la famille Reyes, et ils ont accompagné les Gipsy dans leurs tournées pendant plusieurs années.
C'est ainsi dans la famille : il y a toujours un gamin qui joue de la guitare ou qui chante la rumba catalane… depuis le berceau. Passage de flambeau ? En un sens oui, mais pas seulement. Voler de leurs propres ailes, tout en ayant le soutien de leurs pères, c'est un peu l'idée, marcher dans leurs traces semble si naturel, eux qui ont baigné dans la musique depuis toujours.
Tous chanteurs, tous guitaristes quasiment depuis le berceau, chacun garde néanmoins son style, avec des influences diverses, et porte l'envie de transmettre les valeurs des Gipsy. L'enjeu étant évidemment de se distinguer tout en restant dans la continuité. "Tout est possible, cette musique est libre, elle peut se mélanger; nous avons envie de reprendre des titres qui nous tiennent à coeur, mais de composer aussi", souligne Georges Reyes, fils de Nicolas Reyes. Les voici à la fois gardiens et héritiers d'une tradition qui remonte à José Reyes, la "voix" de Manitas de Plata il y a quelques années. Et les projets sont nombreux.
À commencer par ce premier concert, le 16 avril prochain, à Marrakech, sous le parrainage d'Olivier Delasalle, directeur de OD Production & Communication. "Nous essayons de faire de notre mieux pour suivre le chemin de nos pères, ce premier concert, c'est un peu un baptême, ce qui arrivera par la suite, personne ne le sait. Si ça plaira? Le risque est à prendre, tout est possible. Ou ça passe ou ça casse".
Un album se prépare aussi. Les Gipsy Kings sont, quant à eux, toujours là. Ils espèrent même avoir quelques dates en commun avec leurs fils.
En attendant les voici qui attrapent une guitare, et Baila Me résonne dans la cour de l'hôtel. C'est sûr, la joie, l'envie de partager, marque de fabrique des Gipsy, perdure. La relève est assurée pour de nombreuses ferias encore.
Julina CASTELLA

Jean FERRAT Les derniers tziganes



Il y a un an que ce grand monsieur JEAN FERRAT nous quittait .....

mercredi 9 mars 2011

Informations utiles




Publié le 8.03.2011 La Documentation Française


Tarif social mobile : mise en place dans un délai de 6 mois

Les opérateurs de téléphonie mobile ont signé, lundi 7 mars 2011, une convention sur la mise en place, dans un délai de 6 mois, du label "tarif social mobile".
Ce tarif concerne les personnes rencontrant des difficultés particulières dans l’accès au service téléphonique en raison de leur niveau de revenu (au minimum, les bénéficiaires du Revenu de solidarité active). Plafonné à 10 euros TTC (mensuel pour les forfaits), ce tarif doit garantir :
• la mise à disposition d’une carte SIM,
• la réception d’appels et de SMS,
• 40 minutes d’appels (hors numéros spéciaux et de services) depuis le territoire métropolitain vers les téléphones mobiles ou fixes d’opérateurs métropolitains,
• l’émission de 40 SMS (hors SMS surtaxés) depuis le territoire métropolitain vers les téléphones mobiles d’opérateurs métropolitains.
Cette offre est sans frais d’activation du service, ni frais de résiliation, le consommateur pouvant résilier à tout moment son contrat. L’opérateur informe les utilisateurs de l’existence de cette offre dans sa documentation commerciale et, lorsqu’il en dispose, via son réseau commercial dédié et son site internet. Quand l’abonné cesse d’être éligible à cette offre, l’opérateur l’informe sur les offres plus adaptées à sa situation.

Aide médicale de l’Etat (AME) : 30 euros à payer depuis le 1er mars 2011
Depuis le 1er mars 2011, l’obtention de l’Aide médicale de l’Etat (AME) est conditionnée au paiement d’un droit annuel de 30 euros par bénéficiaire majeur (le demandeur ainsi que ses ayants droit majeurs). La carte d’admission à l’AME est donc remise après avoir réglé ce droit de timbre par la fourniture d’un ou plusieurs timbres fiscaux à acheter chez un buraliste ou auprès du trésor public.
L’AME est une couverture de santé qui permet la prise en charge des dépenses de soins, de consultations médicales à l’hôpital ou en médecine de ville, de prescriptions médicales et de forfait hospitalier, par application des tarifs servant de base au calcul des prestations de l’Assurance maladie. L’AME est attribuée pour 1 an renouvelable. Elle est destinée aux personnes de nationalité étrangère :
• qui résident en France de façon ininterrompue depuis plus de 3 mois,
• mais qui ne disposent pas d’un titre de séjour,
• et qui justifient de ressources annuelles ne dépassant pas le plafond applicable pour l’admission à la Couverture maladie universelle (CMU) complémentaire.
C’est l’article 188 de la loi de finances pour 2011 qui a mis en place ce droit de timbre. Une circulaire du 16 février 2011 détaille également les différentes étapes à suivre pour bénéficier de l’AME.

vendredi 4 mars 2011

Ville de VILLENEUVE LE ROY (94) CHASSE LES Rrom




ci-dessous un couper/coller pris sur le site de la dite ville pour faire évacuer les Rrom de sa ville MERCI MONSIEUR LE DEPUTE MAIRE UMP DIDIER GONZALEZ


Notre ville refuse l'installation des bidonvillesLa Ville lance une pétition pour obtenir du Conseil général du Val-de-Marne l'évacuation des deux campements Roms installés sur la commune depuis plusieurs mois. En tant que propriétaire des terrains, il revient au Département, et à lui seul, de faire procéder à la fermeture de ces deux bidonvilles dans les plus brefs délais.
Vie locale



Depuis l’été dernier, la commune de Villeneuve-le-Roi est confrontée à la présence de deux campements illégaux de Roms sur des terrains appartenant au Conseil général.


Le premier se situe le long de la Seine ; le second, avenue de la République.


Malgré plusieurs demandes de la municipalité, le propriétaire des terrains n’a pas encore fermé ces campements sauvages. Or, la situation empire de jour en jour. En particulier le long des bords de Seine, où le bidonville s’étend. La Ville vous invite à signer la pétition ci-jointe pour dire « Non à l’installation des bidonvilles à Villeneuve-le-Roi ».


Je signe la pétition "Le conseil général doit faire évacuer les campements Roms de notre ville !" en envoyant le formulaire ci-dessous


Nous avons envoyé le courriel ci-dessous

Messieurs,

Présidente de l’association NOTRE ROUTE –association de défense de tous les Rrom-, je vous demande expressément le retrait de la banderole à connotation raciste que vous affichez à l’entrée de votre ville.

Il est inadmissible de la part d’une mairie de quelle obédience politique soit-elle, d’afficher une telle stigmatisation d’une ethnie. Bien avant vous d’autres l’ont fait en France et cela a conduit à un génocide.

Souhaitant que vous prendrez en compte, toutes les contestations et que vous aurez à cœur de retirer dans les plus brefs délais cette ignominie et que vous aurez à cœur de présenter des excuses publiques et d’autre part trouver une solution humaine pour ces familles : voir un relogement digne de ce nom

La Présidente de l’association NOTRE ROUTE
Mme Véronique LABBE

Tél : 06 27 93 45 64